Écrit par un auteur anglais, Christopher Priest, ce texte me donne une impression en demie teinte, voir même un arrière gout amer. Pour commencer par la fin, l'histoire se fini en queue de poisson qui ne fait pas qu'ouvrir l'imaginaire mais laisse carrément sur la faim.
C'est pas trop mal écrit, hormis le nombre impressionnant de coquilles qui trainent dans la version de presses pocket que Tam m'a prêté. Franchement, c'est bizarre, le début en huit clos est déroutant mais pas désagréable, le reste ou la réalité s'entremêle d'une fiction pose des questions intéressantes mais parfois jusqu'au risible voir douteux. j'ai pourtant eu très envie de dévorer les pages pour voir comme tout cela évoluait, ce qu'il arriverait au personnage principal (texte à la première personne) plus attachant.
Résumé de l'histoire :
Un trentenaire voit sa vie bouleversé par tout un tas de catastrophes, la crise lui fait perdre son emploi, sa copine lui tape sur le système et ils rompent au milieu d'une place de Londres, élément principal son père décède. Un ami de ce dernier lui confie les clé de sa maison de campagne pour y faire des travaux de rénovation. A la place, le narrateur se met à écrire, tout d'abord l'histoire de sa vie pour régler ses problèmes puis se retrouve confronté à l'inexactitude de ses souvenirs. Au fur et à mesure des versions il décide de changer tous mes noms, les lieux et se projette dans une histoire de SF. Un autre monde où il transpose son vécu. Finalement, la fiction rejoint la réalité et il va la vivre comme une autre vie, parallèle, plus nette, précise et chaleureuse que sa vie vraie.
Bref, de mon opinion personnelle, a essayé sans pour autant se poser trop de questions à démêler l'écheveau de la folie du narrateur.
Sujet: La fontaire pétrifiante. 
Sam 30 Jan - 0:01
