Source code, de D. Jones

Duncan Jones a deux choses pour lui : le hasard de la vie a fait qu'il est le fils de David Bowie. Bon, ça arrive, on va dire.

Mais de même que pôpa est talentueux en matière de musique, fiston est talentueux en matière de cinoche, en témoigne son 1er long-métrage, "Moon", dont je parlais par ailleurs. Et, ô scandale, même pas diffusé en salles en France alors qu'il a eu un prix international.

Bref, cela ne présage de rien, mais voici le trailer de son nouveau film : Source code.

https://www.youtube.com/watch?v=XsT3XY7oQiM&feature=related

Ca a l'air intéressant. Bon, "source code" ça me fait par contre toujours penser à "code source" :p (parce que sur n'importe quelle page web tu peux faire clic droit -> afficher le code source ^^).

L'idée est sympatoche, j'espère quand même que le film ce sera un peu plus que les 8 mêmes minutes quasi en boucle Bon, avec quand même le héros qui tombe encore amoureux et qui est prêt à lâcher son devoir par amour C'est beau

Là, c'est un film que j'ai hâte de voir!
Comme tu l'as dit, chère Notsil, l'idée est sympa.

Citation :

Bon, avec quand même le héros qui tombe encore amoureux et qui est prêt à lâcher son devoir par amour C'est beau

Oui, c'est beau!

Den a écrit:

Citation :

Bon, avec quand même le héros qui tombe encore amoureux et qui est prêt à lâcher son devoir par amour C'est beau

Oui, c'est beau!

Oh les petites fleurs bleues

ouais, ça a pas l'air mal du tout... même si cela me fait penser à une série dans laquelle le personnage retournait dans le passé... je ne souviens plus comment ça s'appelait...

Voilà, je sors de voir le film !

J'étais fan du premier film de Duncan Jones, Moon... me voilà encore plus fan de ce réalisateur ! Décidément, ce type est pour l'instant résolu à faire des films de SF cérébraux, ce qui nous change très agréablement des blockbusters sans scénarios !

Le héros est le capitaine Colter Stevens. Il se réveille dans un train, face à une femme qui le connaît et entame la conversation. Sauf que les miroirs lui renvoient le visage de quelqu'un d'autre, et qu'il porte le nom de ce quelqu'un d'autre. Et qu'il lui reste huit minutes à vivre, laps de temps pendant lequel il va devoir découvrir qui veut faire sauter le train dans lequel il se trouve.

Le concept du film se base sur le concept de boucle temporelle, en l'occurence de huit minutes, concept déjà exploité maintes fois par d'autres avant lui (je pense notamment à un excellent épisode de Stargate SG1, l'histoire sans fin, 6ème épisode la 4ème saison).

Mais le film ne se base pas que sur ce concept, car viennent s'y intercaler des passages où l'on retrouve ce qui est présenté comme étant la réalité. "Ce qui est représenté" ? Oui, car jusqu'à la toute fin du film, les frontières de la réalité fluctuent, à tel point qu'on ne sait plus où la réalité se situe, ni sous quelle forme.

Un pur régal !

voilà donc un film à placer sur ma liste des films à voir!

confirmé Den, sauf que j'ai pas de liste pour les film... oups, pas de temps pour les petits et grands écrans...