Les fourmis, de B. Weber

Alors, causons un peu de ce qui est de nos jours un classique, français de surcroît, cocorico, toussa.

J'ai trouvé la lecture aussi spéciale que sympa, au sens où je n'avais jamais rien lu de tel auparavant. À partir de là, je peux comprendre le succès du bouquin.

Là où j'adhère moins, c'est toute l'intrigue parallèle avec les humains, peu intéressante, en tout cas pas assez pour justifier d'en parler autant. Ça ressemble à du remplissage, juste pour expliquer le rapport entre les fourmis et les hommes à la fin du livre.

À lire néanmoins !

J'avais adoré... les entames de l'encyclo du savoir relatif et absolu m'avaient scotché... et les fourmis, ça se lit en trilogie... même si de mémoire, le dernier volet m'avait un peu laissé sur ma faim.

Comme AJ, j'avais adoré ce bouquin (enfin, cette trilo). Le côté humain est là pour donner un parallèle et ancrer le truc dans la réalité, quelque part.

Et puis ces petits défis à chaque bouquin (le cercle avec un point au centre sans lever le crayon ^^).

Bon, après, cette trilo a été détrônée dans mon coeur par les Thanatonautes