Voilà une synthèse d'une bonne partie de ce qu'on a dit, et à laquelle j'ai rajouté deux trois idées. Merci de ne pas répondre dans ce topic, qui a juste vocation à avoir nos idées actualisées sous la main sans avoir à les chercher.
Donc pour les réactions, c'est toujours dans le topic "Les héros". Pour réagir à mes propositions, précisez de quel "point" vous parlez, pour qu'on s'y retrouve mieux.
POINT 1 : Idée de base : l'expédition menée par les Lastrimiens pour rencontrer les de nouveaux partenaires commerciaux. Cette expédition, en se basant sur la chrono de Titi, commence en 422 et se termine en 430.
Comme la présente mouture ne comprendra que huit chapitres, toute l’expédition ne pourra pas être traitée, surtout si elle s’étend sur 7 ans. Donc on se cantonne à deux peuples, à savoir les Ziveils et les Pirlains.
POINT 2 : chapitre 1 : "422, décision est prise de constituer une expédition à but scientifique, commercial et politique." (chronologie lastrimienne de Titi)
2.1 Le point sur les connaissances des peuples Ziveil et Pirlains par les Lastrimiens (géographie, science, commerce, ressources), et de ce qui pourrait intéresser les Lastrimiens (les manques justifie les besoins).
Synthèse provisoire : les Lastrimiens veulent du métal, qu’ils espèrent trouver dans les montagnes des Ziveil. Et ils veulent du bois, qu’ils pourraient trouver chez les Pirlains. On peut peut-être même placer la soie chez les Pirlains.
Pour des champs de coton, pas possible dans les montagnes et dans la forêt, les vins rouges du sud non plus, et je ne crois pas non plus pour les parfums et herbes aromatiques rares. A garder pour une future expédition, je pense.
2.2 On peut ajouter des rumeurs, des légendes et la collecte de renseignements sur des peuples plus lointains (des hommes-insectes, un puissant empire au sud).
Les rumeurs et autres légendes devraient concerner des choses exotiques pour les Lastrimiens, comme des poules qui parlent, ou des démoloss, par exemple.
Pour ce qui est des Sephropans, ils sont connus et n'appartiennent donc pas aux légendes, mais les encyclopédistes pourraient s'intéresser à ce peuple pour ses ressources, et imaginer pouvoir commercer avec eux.
Rumeurs collectées en cours de route, lors des rencontres avec les Pirlains /Ziveils ? Je pense que les encyclopédistes partiraient plutôt à la pêche aux infos, pour savoir si des légendes qui sont parvenues à leurs oreilles sont vraies ou non. Mais c'est également l'occasion d'entendre de nouvelles rumeurs et légendes, je pense.
2.3 Les membres de l’expédition :
2.4 Les encyclopédistes : ils sont au nombre de douze.
2.5 L’un d’eux devrait être le chef de l’expédition pour toutes les questions scientifiques.
Le chef pourrait être le géologue, vu qu'on a une spécialiste en la matière qui pourrait le faire parler d'une manière crédible.
Le chef est âgé, expérimenté, chercheur, et a déjà voyagé un chouya, notamment dans le territoire Lastrimien.
2.6 Les spécialités de chacun : linguiste, sociologue, historien, géologue, naturaliste, botaniste, 3 médecins/guérisseurs, anthropologue, alchimiste, « sorcier/magicien ».
2.7 Les mercenaires : leur nombre.
Inutile d'inquiéter les peuplades avec toute une armada, donc troupe réduite…mais pas trop quand même. Un chef, 5 éclaireurs pour l’avant, 5 pour l’arrière-garde, + 40 hommes de troupe. = 51 personnes.
2.8 Certains mercenaires ont pas mal bourlingué et ont donc des rudiments de langue étrangère.
2.9 Le chef des mercenaires est également le chef de l’expédition pour toute les questions de sécurité.
2.10 La main-d’œuvre
Un assistant par scientifique, soit 12 personnes de plus. = 75 personnes.
Responsable des montures : les mercenaires s’occupent jalousement de leurs bêtes, mais une personne (le chef des porteurs) gère les autres.
Porteurs : gufus ou bandaras, menés par des conducteurs d’animaux, au nombre de 15, qui sont là pour veiller sur le confort des scientifiques, surveiller les « ânes », monter et démonter les camps, et faire la popote.
Pendant que les scientifiques et une partie des mercenaires reprennent la route le matin, les porteurs démontent le camp, avant de les rejoindre.
Soit 90 membres pour l’expédition.
2.11 La logistique : montures, nourriture, matériel scientifique.
Nombre de montures :
1 monture par scientifique, du type « cheval », soit 12 montures.
32 autres montures, dont :
12 de plus par scientifique, pour leur matériel : loupes (botaniste entre autres), serpette (botaniste), marteau (géologue), divers sacs à échantillon (botaniste/géologue), cages pour apporter des spécimens vivants (zoologiste-naturaliste), et des parchemins/papiers pour prendre de nombreuses notes, donc avec plume et encre et tablettes).
5 pour trimbaler les tentes (types « ânes » ; 25 tentes de 4 personnes).
5 pour trimbaler la bouffe (« ânes).
10 montures pour les mercenaires (dont 41 seront donc à pied).
Soit un total de 44.
2.11 bis : considérations diverses
Campements :
Pour une nuit : les tentes.
Pour deux ou trois jours : les tentes + une palissade ou plantation de pieux.
La nourriture :
Les mercenaires chassent (le soir), histoire d’entretenir leurs réflexes.
Certains porteurs posent des collets et jouent de la fronde.
Du commerce pourrait être fait avec certains villages traversés.
Le rythme du voyage :
Les mercenaires veulent aller au plus vite pour accomplir sa mission, mais les scientifiques sont comme des gosses lâchés à Disneyland, prêts à s’arrêter pour étudier tout ce qu’il leur paraît intéressant.
Accueil des autochtones :
Peut se poser le problème de l’accueil de 85 personnes et de 112 montures. Faut nourrir les bestiaux, voire déboiser un peu ou se servir dans les ressources locales (ils pourraient taper sans faire gaffe dans l'essence rare / sacrée locale) il faut une certaine étendue pour loger tout ce petit monde. Sans parler des déchets et autres crottins.
2.12 Ce chapitre parlerait de qui lance l'idée de l'expédition (la décision politique, à la base), sa constitution (sous quelle forme, nombre et route choisie, terrestre ou maritime), les héros qui en feront partie (une vingtaine de scientifiques, avec tous les conflits que ça peut entraîner entre les divers spécialistes, qui veulent peut-être tous en être mais les places sont limitées, le même nombre de mercenaires pour les chapeauter et les protéger ?).
Il décrirait également les préparatifs de l'expédition : son financement, les ressources mises à disposition des encyclopédistes, la collecte de rumeurs et/ou de connaissances actuelles pour ne pas trop partir en terre inconnue (ex : savoir quels vêtements prendre selon le climat, savoir s'il faut des offrandes en rencontrant les peuples, connaître un minimum leurs coutumes diplomatiques, repérer des endroits où des haltes sont possibles sur la route), et les préparatifs logistiques en eux-mêmes (moyens de transport, nourriture et eau, instruments scientifiques (y compris les parchemins).
Ce chapitre couvrirait une période d'un an environ et s'achèverait quand le chef de l'expédition, une fois tout prêt, donnerait le signal de départ.
2.13 (nouveau point) : Les héros : évidemment, inutile de créer les cent membres, mais au moins les scientifiques, le chef des mercenaires (et peut-être son second), voire le chef de la "logistique". Des idées et suggestions ?
2.14 (nouveau point) : quels seront les montures utilisées ? Bandaras ? Gufus ? Autres ? D'ailleurs, elles vivent où précisément, ces bébêtes ?
POINT 3 : Chapitre 2 : "423, départ de l’expédition" (chronologie lastrimienne de Titi)
3.1 Départ à partir du sud-ouest de Lastrimia, pour aller à la rencontre des Ziveils, puis des Pirlains. Ce chapitre se concentre sur le voyage en lui-même.
3.2 La route empruntée : passer directement par les montagnes, car les forêts des alentours ne sont pas sûres.
3.3 Combats : un contre des créatures locales ? Lesquelles ?
3.4 Un autre contre un peuple belliqueux ? Lequel ?
3.5 Péripétie : pendant une halte dans des ruines perdues dans les montagnes, et en rapport avec des légendes attachées au lieu.
3.6 Attitude des encyclopédistes pendant le trajet : la dure réalité s'impose à aux : c'est fatiguant, ils n'ont aucun confort, etc. peut-être même que certains veulent déjà rentrer à le maison. Bref, certains font leurs boulets vis-à-vis du chef de l'expédition.
POINT 4 : chapitre 3 : l'arrivée chez les Ziveils.
4.1 Placer un voire plusieurs quiproquos linguistiques.
4.2 Les encyclopédistes veulent tout étudier, sans se préoccuper d'incompréhensions culturelles que doit gérer le chef des mercenaires (ex : demander un cadavre frais pour l'autopsier, entrer et s'installer dans un lieu sacré, faire le moralisateur vis-à-vis de rites que les Lastrimiens trouveraient choquants).
4.3 Curieux de tout, les encyclopédistes seraient plutôt dans leur petit monde. Certains pourraient partir de leur côté, intéressé par un "truc" qu'ils auraient repéré, en oubliant d'avertir le chef de leur départ, et obligeant donc celui-ci à les retrouver.
POINT 5 : chapitre 4 : un deuxième chapitre chez les Ziveils.
POINT 6 : chapitre 5 : départ et reprise de la route, jusque chez les Pirlains.
POINT 7 : chapitre 6 : arrivée chez les Pirlains.
POINT 8 : chapitre 7 : un deuxième chapitre chez les Pirlains.
POINT 9 : chapitre 8 : conclusion de la première partie de l’expédition.
9.1 Certains scientifiques repartent faire leur rapport ( et ramener des échantillons-prélèvements de ce qui se fait chez leurs voisins, ainsi que beaucoup de parchemins et croquis portant sur les us et coutumes, légendes, faune et flore), tandis que les autres reprennent la route pour continuer l’expédition.
9.2 Des "scientifiques" Pirlains et Ziveils remplace des morts ou ceux qui vont rentrer au pays, et ces peuples fournissent des troupes pour que l'expédition continue.
POINT 10 : Ajouts : combat contre des Nüm’ahks ? Quand ? Sur la route qui mène chez les Ziveils ? (chapitre 2) Ou attaque d’un village ziveil peu après l’arrivée des encyclopédistes ? (chapitre 3)
MAJ faite le 23/04/08.
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Si le retard était une religion, j'en serais le pape...