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| USS Baltimore II : Narnaya Prime (novella;Star Trek;terminée) | |
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Auteur | Message |
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Den Bouffon du Roi
Messages : 5101 Date d'inscription : 09/09/2007 Age : 42 Localisation : Belgique
| Sujet: Re: USS Baltimore II : Narnaya Prime (novella;Star Trek;terminée) Jeu 17 Sep - 11:52 | |
| Bah! De toute façon, l'histoire reste prenante même si c'est un peu court | |
| | | aj crime Croquemitaine
Messages : 2570 Date d'inscription : 16/09/2007 Age : 51 Localisation : Presque de l'autre côté de la Terre !
| Sujet: Re: USS Baltimore II : Narnaya Prime (novella;Star Trek;terminée) Ven 18 Sep - 19:32 | |
| Et voilà, c'est mis au bout du reste pour la relecture lorsque j'aurai fini de relire et commenter duel de soldats de darkwilliam. | |
| | | Minos Lapinou Imperator
Messages : 5934 Date d'inscription : 17/08/2007 Age : 50 Localisation : Morbihan
| Sujet: Re: USS Baltimore II : Narnaya Prime (novella;Star Trek;terminée) Lun 21 Sep - 13:59 | |
| Bon, finalement j'ai rajouté une scène à mon court chapitre suivant pour qu'il ait une longueur potable, et supprimé le chapitre suivant bien trop court lui aussi. Hop ! Chapitre 5 : Rien ne va plus
La tension à bord de l’ USS Baltimore ne fit que croître pendant les jours suivants. Malgré les recommandations et désirs de Harlington, Sulok n’avait jamais été si peu aimé, même si Thif et lui s’étaient rabibochés et donnaient l’impression qu’il ne s’était rien passé de fâcheux entre eux. L’équipage se méfiait du caractère introverti du docteur, assimilé à une froideur glaciale. Si les relations entre Sulok et le reste de l’équipage n’étaient pas au beau fixe, cela n’était rien à côté de l’isolement dans lequel fut plongé Antonino Garcia. Lui fut véritablement considéré comme un paria par l’équipage dès que celui-ci apprit qu’il avait rompu avec Kimiko Heitashi. Jusque-là, avec son charme et son assurance de façade, Garcia avait compté beaucoup d’admirateurs. Les femmes du bord, à l’exception bien sûr de T’Savhek, avaient toutes flirté et badiné avec lui à un moment ou à un autre. Ses collègues masculins aimaient bien sa gouaille et s’amusaient de sa vantardise. Le jeune enseigne Evander Mitchell éprouvait une grande admiration envers son aîné, qui n’avait qu’à claquer des doigts ou presque pour faire des femmes ce qu’il voulait. Mais Kimiko Heitashi était elle aussi très aimée car sa bonne humeur étant proverbiale, elle contribuait par sa simple présence à alléger l’atmosphère. Elle fut d’autant plus l’objet de la compassion de l’équipage qu’elle eut beaucoup de mal à se remettre de la rupture. Oubliés ses sourires et son espièglerie naturelle. Blême et les yeux rouges à force de pleurer, elle n’était plus que l’ombre d’elle-même et montrait beaucoup de difficultés à surmonter cette mauvaise passe. Le fait d’être obligée de croiser souvent son ex-amant, vu l’exiguité du navire, n’arrangeait rien, et le danger qu’elle tombe dans la plus noire des dépressions était présent à l’esprit de tout le monde. Elle en prenait tout droit le chemin et son travail en pâtissait, bien que l’équipage veillât à la laisser le moins possible seule. Sulok mit les bouchées doubles pour s’occuper d’elle, bien qu’il partît de loin : comprendre une espèce qui pouvait se laisser autant dominer par ses émotions lui semblait très compliqué et le mettait très mal à l’aise. À ses yeux, un tel manque de maîtrise de ses émotions était presque indécent. Mais il remisa ses jugements et passa de longues heures à étudier la psychologie humaine, désireux de montrer ses compétences de médecin et de rattraper le coup après l’incident avec Thif. À force de persévérance, il parvint à ses premiers résultats positifs au bout d’une longue semaine. Si l’enseigne Heitashi semblait avoir perdu le goût de sourire, son chagrin commença peu à peu à refluer. Ce fut en fin de compte grâce à sa vulcanité que Sulok parvint à l’aider, en proposant à Heitashi d’étudier avec lui quelques techniques de relaxation et de maîtrise de soi mises au point par son peuple. * ** Pleinement conscient de la morosité ambiante, Harry Harlington priait pour qu’un événement extérieur fasse son apparition afin d’apporter une salutaire distraction à ses hommes. Bien entendu, rien ne se passa. Il finit par enjoindre T’Savhek à accélérer le plus possible ses mesures et ses études de la nébuleuse d’Endevaar. L’équipage avait réellement besoin de passer à autre chose, et T’Savhek elle-même en convint. Quand la Vulcaine annonça à Harlington que les relevés prendraient encore trois semaines, il estima un tel délai beaucoup trop long. Ils firent un compromis en décidant d’affecter tout l’équipage à l’étude la nébuleuse, à des degrés divers. Le double avantage qu’ils en retireraient serait qu’une semaine suffirait à boucler le programme de recherches, et que tout le monde à bord serait occupé et mis un tant soit peu sous pression. Les vœux de Harlington de voir enfin brisées la morne routine et l’ambiance délétère furent exaucés plus vite qu’il ne l’avait prévu. Et d’une manière qu’il ne goûta guère… Dès que le travail en cours fut réorganisé, Harlington ordonna à Garcia de contacter la colonie de Narnaya Prime pour annoncer l’arrivée prochaine du Baltimore. La colonie n’accusa pas réception du message, fait inhabituel mais qui n’avait rien d’inquiétant. Il n’était pas rare que les systèmes de communication soient capricieux, surtout dans des endroits isolés comme des avant-postes de la Fédération. Pendant les quatre heures suivantes, Garcia tenta de prendre contact avec la colonie tous les quarts d’heure. En vain. Harlington se retrouva face à un dilemme. Ses ordres étaient clairs : procéder à une évaluation complète de la nébuleuse d’Endevaar, puis après et seulement après, aller apporter du matériel à la colonie de Narnaya Prime et recueillir en échange le fruit des travaux menés pas les scientifiques dans ce poste avancé de la Fédération. L’absence de réponse de la colonie aux appels du Baltimore ne pouvait avoir que deux explications : une panne, ce qui semblait le plus plausible. Ou des ennuis plus graves. Un commandant de navire de la Fédération se devait de savoir faire la part des choses. Il ne paniquait pas pour un rien et ne bouleversait pas les plannings prévisionnels sur un coup de tête. Pourtant, au fur et à mesure que les heures passaient sans réponse de Narnaya Prime, Harlington sentit la pression monter en lui. Un sentiment d’urgence commença à l’oppresser. Il le repoussa plusieurs fois en se moquant in petto de lui-même : il avait du mal à qualifier d’intuition son angoisse grandissante et son envie d’action. Pourtant, même si les probabilités que la colonie ait des problèmes semblaient bien faibles, il finit par céder aux sirènes de son inquiétude. Après tout, il ne fallait que douze heures pour rallier Narnaya Prime. Si tout allait bien sur place, ils n’auraient perdu que vingt-quatre heures pour faire l’aller-retour. Qui plus est, ce ne serait pas totalement du temps perdu puisqu’ils auraient le loisir de le mettre à profit pour commencer à interpréter les données recueillies sur la nébuleuse d’Endevaar. – Monsieur Garcia, calculez-nous un cap pour Narnaya Prime. – À vos ordres, commandant. Harlington activa l’intercom pour s’adresser à l’équipage : – Ici le commandant. Face à l’absence de réponse à nos appels en direction de Narnaya Prime, j’estime que nous devons nous assurer que la situation là-bas est normale. Nous allons donc nous y diriger sur-le-champ. Que les officiers T’Savhek, Lupescu et Sulok me rejoignent au mess pour un briefing. * ** – T’Savhek, en tant qu’officier scientifique par intérim, que pouvez-vous nous dire sur Narnaya Prime ? – C’est une planète de classe M, approximativement de la taille de la Terre ou de Vulcain. Les conditions de vie ont sont rudes, comme sur Vulcain. Des vents violents balayent la surface et ne permettent pas d’y vivre à découvert. L’avant-poste de la Fédération est constitué d’éléments préfabriqués scellés entre eux, installés à flanc de colline pour se protéger du vent. – Quelles sont les formes de vie locales ? – Les précédentes campagnes de sondage ont indiqué un peu de végétation, typique d’environnements arides. Bien que l’air soit respirable pour nous, il est tout de même à noter qu’aucun mammifère ou espère intelligente n’a jamais été détectée. Par contre, il existe un vie microbienne. – N’est-ce pas inhabituel ? – La vie microbienne débouche toujours sur l’apparition de formes de vie plus évoluées. Cette anomalie a constitué l’un des choix pour installer l’avant-poste sur la planète : nos scientifiques ont été intrigués par ce fait et ont voulu en apprendre plus. – L’un des choix ? Quels étaient les autres ? – La région de l’espace dans laquelle nous nous trouvons est très mal connue et, à notre connaissance, nulle espèce n’en revendique la suzeraineté. La Fédération a donc trouvé intéressant d’y développer sa présence. La planète pourrait servir en vue d’une colonisation ou de la réimplantation de peuples chassés de leur habitat. – Je présume que quelque chose empêche la colonisation de se faire dès maintenant, sinon qu’est-ce qui justifierait la présence de l’avant-poste scientifique ? – En effet, commandant. Bien que la planète soit de classe M, il y a certaines particules inhabituelles dans l’air. les scientifiques sont là pour les tester et s’assurer qu’ils ne représentent pas un danger en cas d’exposition prolongée sur du très long terme. – Monsieur Lupescu, qu’en est-il du nombre de scientifiques sur place et de leurs moyens de se défendre en cas de problème ? – Ils sont au nombrrre de huit, commandés parrr un Vulcain du nom de Silkarrr. Trrrois autrrres Vulcains et quatre humains composent le rrreste de l’équipe. Leurrrs compétences vont de l’astrophysique à l’exobiologie, en passant parrr la minérrralogie, la micrrrobiologie et la médecine bactérienne. Parrr ailleurs, la base est équipée d’un bouclier pour fairrre face aux tempêtes, assez frrréquentes et qui peuvent occasionner des dégâts imporrrtants. Mais horrrmis un phaseur individuel par membrrre de l’équipe, l’avant-poste est dépourrrvu de tout armement. – Bon. Monsieur Lupescu, préparez une équipe d’intervention au cas où il y aurait du grabuge. T’Savhek, n’omettez pas de continuer à contacter l’avant-poste, au cas où leurs soucis se borneraient à une panne d’émetteur réparé entre-temps. Sulok, soyez prêts à intervenir en cas de premiers secours à prodiguer. Au travail ! | |
| | | Den Bouffon du Roi
Messages : 5101 Date d'inscription : 09/09/2007 Age : 42 Localisation : Belgique
| Sujet: Re: USS Baltimore II : Narnaya Prime (novella;Star Trek;terminée) Lun 21 Sep - 14:30 | |
| Et bien, c'est toujours aussi sympathique, dis donc! Tu montres assez bien la tension qui monte à bord du vaisseau! Et les personnages sont toujours aussi bien décris. Par contre, le terme planète de classe M (j'ai supposé que c'était une planète avec une atmosphère respirable comme notre bonne vieille terre), c'est un terme purement trekien? | |
| | | Minos Lapinou Imperator
Messages : 5934 Date d'inscription : 17/08/2007 Age : 50 Localisation : Morbihan
| Sujet: Re: USS Baltimore II : Narnaya Prime (novella;Star Trek;terminée) Lun 21 Sep - 14:38 | |
| C'est un terme purement "scientifiquement terrien utilisé par les astronomes de nos jours". Et oui, il est très utilisé dans Star Trek. | |
| | | Den Bouffon du Roi
Messages : 5101 Date d'inscription : 09/09/2007 Age : 42 Localisation : Belgique
| Sujet: Re: USS Baltimore II : Narnaya Prime (novella;Star Trek;terminée) Lun 21 Sep - 14:38 | |
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| | | Notsil Candy
Messages : 4033 Date d'inscription : 09/09/2007 Age : 39 Localisation : A la campagne !
| Sujet: Re: USS Baltimore II : Narnaya Prime (novella;Star Trek;terminée) Lun 21 Sep - 18:38 | |
| Oh le doc qui essaie de sortir une faible femme de la dépression Bien fait pour l'autre, qu'il lui arrive un fâcheux accident à côté du sas de décompression...^^ | |
| | | Den Bouffon du Roi
Messages : 5101 Date d'inscription : 09/09/2007 Age : 42 Localisation : Belgique
| Sujet: Re: USS Baltimore II : Narnaya Prime (novella;Star Trek;terminée) Lun 21 Sep - 18:47 | |
| - Citation :
- Bien fait pour l'autre, qu'il lui arrive un fâcheux accident à côté du sas de décompression...^^
Que de cruauté! | |
| | | Notsil Candy
Messages : 4033 Date d'inscription : 09/09/2007 Age : 39 Localisation : A la campagne !
| Sujet: Re: USS Baltimore II : Narnaya Prime (novella;Star Trek;terminée) Lun 21 Sep - 18:47 | |
| Il faut parfois | |
| | | Den Bouffon du Roi
Messages : 5101 Date d'inscription : 09/09/2007 Age : 42 Localisation : Belgique
| Sujet: Re: USS Baltimore II : Narnaya Prime (novella;Star Trek;terminée) Lun 21 Sep - 18:48 | |
| T'aimes ça en plus, hein! | |
| | | Minos Lapinou Imperator
Messages : 5934 Date d'inscription : 17/08/2007 Age : 50 Localisation : Morbihan
| Sujet: Re: USS Baltimore II : Narnaya Prime (novella;Star Trek;terminée) Lun 21 Sep - 20:31 | |
| Bon, on va vous laisser tous les deux... faites comme si on était pas là... | |
| | | Minos Lapinou Imperator
Messages : 5934 Date d'inscription : 17/08/2007 Age : 50 Localisation : Morbihan
| Sujet: Re: USS Baltimore II : Narnaya Prime (novella;Star Trek;terminée) Lun 21 Sep - 23:50 | |
| Hop ! Tout de suite la suite ! Chapitre 6 : l’arrivée Une demi-heure avant d’entrer en orbite autour de Narnaya Prime, Harlington ordonna à Garcia de quitter la vitesse de distorsion et de changer de trajectoire. Ainsi, si un danger rôdait, le Baltimore arriverait d’une direction imprévue et aurait donc plus de latitude pour réagir voire pour surprendre un éventuel ennemi. Rien ne se produisit et le navire de Starfleet se retrouva bientôt en orbite à scanner les lieux. – Monsieur Inriek, que détectez-vous ? – Rien, monsieur. Il y a beaucoup d’interférences dues à une violente tempête en cours, mais il semble n’y avoir aucun signe de vie dans l’avant-poste. – T’Savhek, pensez-vous qu’une téléportation soit possible dans de telles conditions ? demanda Harlington, d’autant plus sceptique qu’il était un spécialiste des téléportations. – Je n’en suis pas certaine, monsieur. Je recommande donc un atterrissage du Baltimore. – Cela ne représente-t-il pas un danger pour nous ? – La manœuvre est délicate mais largement faisable par un bon pilote, monsieur. Harlington reporta son attention sur Antonino Garcia, assis devant lui face à la console de pilotage. – Garcia ? – Oui, monsieur ? Était-ce de la tension que Harlington crut déceler dans le ton de l’Ibérique ? – Qu’en pensez-vous ? – C’est dans mes cordes, monsieur, rétorqua Garcia avant de s’essuyer les paumes des mains sur ses cuisses, ce qui n’avait pas grand-chose de rassurant. – Alors, allons-y. Que tout le monde s’accroche. Tout se passa bien dans les premiers moments de la descente, même si la vue sur l’écran de la passerelle de la plongée dans le tourbillon de nuages tournoyant à une vitesse folle était très impressionnante. Harlington serra les accoudoirs de son fauteuil à en blanchir ses phalanges et ne cessa que lorsque ses mains devinrent douloureuses. Il balaya alors la passerelle du regard, bien embêté à l’idée que quelqu’un ait pu surprendre sa nervosité. Personne n’eut l’imprudence de lui montrer le contraire. Les premières turbulences furent minimes mais Garcia réduisit la vitesse du Baltimore, par prudence. Quand le navire fit une sévère embardée, des alarmes anti-collisions se mirent à mugir et Garcia se mit à pianoter furieusement sur sa console. Il hurla à son copilote Inriek : – Caramba ! Utilise les rétrofusées pour accompagner toutes mes manœuvres, je crains pour l’intégrité structurelle de la coque ! Inriek cria son accord et riva les yeux sur les mains de son collègue, afin de reproduire ses gestes. La descente fut interminable et plus d’un membre de l’équipage sur la passerelle se retrouva à terre à un moment ou à un autre. Les sautes de vent étaient très violentes, presque comme des impacts de torpilles. Garcia lui-même se retrouva à terre. Quand Harlington, solidement cramponné à ses accoudoirs, vit son piloter tomber, il se jeta en avant pour le remplacer. Mal lui en prit car il chuta aussitôt à son tour et se fendit la lèvre sur le bord de la console de navigation. Il parvint tout de même à aider Garcia à se rasseoir à son poste, avant de ramper vers son fauteuil en se morigénant. Qu’est-ce qu’il avait donc essayé de faire ? Prendre les commandes ? Il était à peine capable de faire voler tout droit une navette et n’avait pas encore saisi toutes les subtilités d’un atterrissage réussi, malgré des dizaines d’heures passées sur simulateur. Revenant au présent, il s’avisa enfin que la tension était presque palpable sur la passerelle, et il eut la présence d'esprit d'ordonner à T’Savhek de couper les maudites alarmes tonitruantes qui leur vrillaient le crâne. Dès qu’elles se turent, tous eurent l’impression qu’un grand poids venait de leur être ôté des épaules. – Situation, monsieur Garcia ? demanda le plus calmement du monde Harlington, en contradiction totale avec son envie de hurler sa peur. – On maîtrise, commandant, on maîtrise ! répondit trop vite le pilote. Ce n’était pas ce que Harlington crut lire sur le visage de T’Savhek, mais il préféra se taire. Il voulut prier, mais l’athée convaincu qu’il était ne trouva aucune divinité vers qui se tourner. Ne lui resta alors plus qu’à se dire que d’un instant à l’autre, ils allaient tous mourir. Tout en prenant soin de rester impassible, comme tout commandant devait l’être, à son avis. Les conditions météorologiques se calmèrent enfin et Garcia s’écria : – On en est sortis, monsieur ! Il avait l’air d’être le premier surpris. Harlington eut envie de lui fracasser la tête sur la console de pilotage. – Félicitations, monsieur Garcia, se borna-t-il à répondre tout en essayant de se remémorer si oui ou non il y avait un punching-ball dans la salle de sport du navire. Tout le monde va bien ? – Sur la passerelle, il semblerait que oui, commandant, fit T’Savhek. Je fais monter le docteur pour qu’il s’occupe de votre lèvre. Le Baltimore a subi quelques dommages, mais rien de bien sérieux. – Parfait ! Monsieur Inriek, l’écran de la passerelle ne fonctionne plus ? – Si monsieur, mais nous sommes pris dans ce qui ressemble à une tempête de sable. Nos instruments fonctionnent parfaitement et notre position est calée sur celle de l’avant-poste. Même si nous ne l’avons pas en visuel, nous n’en sommes pas loin. Harlington se concentra sur sa lèvre fendue. La douleur était infime mais il constata avec dépit qu’une belle tache de sang souillait son uniforme moutarde. – Il y a des blessés ? demanda Harlington à Sulok quand celui-ci, talonné de près par Thif, fit son apparition sur la passerelle. – Non, répondit sèchement le Vulcain en attrapant maladroitement son tricordeur médical d’une seule main. Le bras gauche du médecin pendait, inerte. Harlington préféra se taire pendant que les deux membres de la section médicale examinaient tous les hommes d’équipage. Dès que Thif eut badigeonné la lèvre de Harlington avec une dose massive de coagulant en spray, le commandant crut pouvoir partir se changer, mais Garcia dit : – Nous survolerons l’avant-poste dans une minute. – Tout le monde aux postes de combat, levez les boucliers. Monsieur Inriek, tentez de joindre l’avant-poste. – Aucune réponse, commandant. Quand l’ascenseur appelé par Sulok et Thif arriva, Evander Mitchell en sortit, un haut d’uniforme jaune moutarde à la main. – Commandant ? Le lieutenant T’Savhek m’a demandé de vous apporter ceci. – Merci, Mitchell, sourit Harlington. Et merci à vous aussi, T’Savhek. – Survol de la base dans dix secondes, annonça Inriek. Les senseurs n’indiquent aucune présence hostile… et aucune présence vivante dans l’avant-poste. Faites nous atterrir, Garcia. La large plate-forme de l’avant-poste leur tendait les bras. Bien qu’elle fût en grande partie recouverte de sable, le souffle des rétrofusées de l’ USS Baltimore suffit à dégager la place et l’atterrissage se fit en douceur. – Monsieur Lupescu, préparez votre équipe et investissez l’avant-poste. – À vos orrrdrrres, commandant. * ** Il ne fallut que cinq minutes aux officiers Lupescu, Heitashi, Nimar et Gotram pour sortir en scaphandres par le sas. Sur l’écran, l’équipe de la passerelle les vit avancer lentement jusqu’au sas de l’avant-poste, dans lequel ils se réfugièrent. Ils se rendirent vite à l’évidence : les scientifiques de la Fédération avaient disparu. Dans la cafétéria de la base, deux plateaux-repas entamés gisaient sur une table. Dans les laboratoires, des expériences étaient toujours en cours, écrans d’ordinateurs allumés, liquides bouillonnants dans des alambics. Le bureau de Silkar, commandant de la base, était très bien rangé et d’une sobriété toute vulcaine. Rien dans son journal de bord n’indiquait le moindre problème : les résultats des expériences y étaient soigneusement consignés. T’Savhek se réfugia derrière son impassibilité coutumière, mais Harlington ne fut pas dupe. Elle s’inquiétait du sort de son fiancé : il le vit au fait que T’Savhek arborait désormais un air pincé voire offensé, qui lui faisait ressembler encore plus que d’habitude à son frère jumeau, dont c’était l’expression normale. | |
| | | Den Bouffon du Roi
Messages : 5101 Date d'inscription : 09/09/2007 Age : 42 Localisation : Belgique
| Sujet: Re: USS Baltimore II : Narnaya Prime (novella;Star Trek;terminée) Mar 22 Sep - 11:09 | |
| Tu avances vite, dis donc! Ce n'est pas pour me déplaire! Au moins, j'ai ma dose de FF quotidienne pour la journée;) Sinon, c'est toujours un plaisir de te lire. J'aime beaucoup l'évolution de l'histoire. Bien mystérieux et tout. Je suis fan!^^ | |
| | | Notsil Candy
Messages : 4033 Date d'inscription : 09/09/2007 Age : 39 Localisation : A la campagne !
| Sujet: Re: USS Baltimore II : Narnaya Prime (novella;Star Trek;terminée) Mar 22 Sep - 11:50 | |
| Moi je veux la suite (oui c'était un commentaire très constructif ^^) | |
| | | Minos Lapinou Imperator
Messages : 5934 Date d'inscription : 17/08/2007 Age : 50 Localisation : Morbihan
| Sujet: Re: USS Baltimore II : Narnaya Prime (novella;Star Trek;terminée) Mar 22 Sep - 13:25 | |
| Si je tiens le rythme, elle arrivera ce soir. | |
| | | Notsil Candy
Messages : 4033 Date d'inscription : 09/09/2007 Age : 39 Localisation : A la campagne !
| Sujet: Re: USS Baltimore II : Narnaya Prime (novella;Star Trek;terminée) Mar 22 Sep - 13:46 | |
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| | | Den Bouffon du Roi
Messages : 5101 Date d'inscription : 09/09/2007 Age : 42 Localisation : Belgique
| Sujet: Re: USS Baltimore II : Narnaya Prime (novella;Star Trek;terminée) Mar 22 Sep - 14:42 | |
| Excellente nouvelle! | |
| | | Minos Lapinou Imperator
Messages : 5934 Date d'inscription : 17/08/2007 Age : 50 Localisation : Morbihan
| Sujet: Re: USS Baltimore II : Narnaya Prime (novella;Star Trek;terminée) Mar 22 Sep - 22:10 | |
| On y retourne ! Chapitre 7 : l’enquête L’équipe de sécurité continua en vain ses investigations, bientôt rejointe par Harlington et T’Savhek. Cette dernière se dépensait sans compter et ne cessait d’avancer de nouvelles théories pour expliquer la disparition des scientifiques, mais aucune piste n’apparut. Le seul incident fut déclenché par l’enseigne de la sécurité Gotram. Il crut déceler un mouvement du coin de l’œil et courut dans sa direction, non sans avoir alerté ses camarades par communicateur. Il fut vertement rabroué part T’Savhek quand il s’avéra qu’il avait rêvé, ou cédé à la nervosité. Il n’était pas le seul à être atteint par le sinistre avant-poste désert. Le silence qui y régnait était presque sépulcral, et le moral de l’équipage, déjà peu élevé avant l’arrivée sur Narnaya Prime, redescendit encore de quelques crans, au grand dam de Harlington. À la tension latente s’ajoutait la frustration de ne trouver aucune réponse aux nombreuses questions que tous se posaient. C’est à nouveau par le biais – involontaire, cette fois-ci – de l’Andorien Gotram que la situation évolua. Quand Lupescu le contacta pour son rapport de routine, il ne répondit pas. Tout le monde fut mis sur le pied de guerre. T’Savhek utilisa en vain son tricordeur pour localiser Gotram, tandis que sur le Baltimore, l’équipe de la passerelle assura que nul n’avait quitté les lieux : les senseurs comme les caméras du navire étaient braqués sur l’avant-poste. – Au rapport, T’Savhek ! fit un Harlington aux abois en déboulant dans le laboratoire de l’avant-poste que la Vulcaine s’était approprié pour mener ses recherches. – Nos tricordeurs n’ont rien noté sortant de l’ordinaire, aussi ai-je eu idée d’utiliser ceux de la base, plus puissants et plus précis. Il y a quelque chose qui me roule en boule dans les relevés. – Roule en… Vous voulez dire chiffonne, je présume ? – Le moment ne me paraît guère opportun pour un cours de sémantique idiomatique terrienne, commandant, répondit la Vulcaine, un tantinet vexée d’être prise en défaut sur une expression imagée. – Au fait, T’Savhek, s’irrita Harlington. – J’ai détecté des résidus de traces infrarouge, mais qui s’interrompent brutalement. – Vous pouvez m’expliquer cela avec des mots que je puisse comprendre, lieutenant ? – J’ai triangulé la base pour reconstituer le parcours de Gotram. J’ai réussi à isoler sa signature thermique et à la suivre… jusqu’à ce qu’elle disparaisse brusquement. – Ce serait dû à quoi ? Téléportation ? Désintégration ? – Je n’en sais pas plus, commandant, répondit la Vulcaine avec lassitude. Je ne suis pas une scientifique de formation. En théorie, les téléportations sont impossibles sur cette planète car les tempêtes locales charrient trop d’interférences magnétiques. De plus, le processus de recombinaison moléculaire laisse des traces or il n’y en a aucune. Une désintégration paraît tout aussi improbable : il y aurait un pic de chaleur à la dernière position connue du disparu. Or là non plus ce n'est pas le cas. Harlington réalisa qu’elle n’avait pas dormi depuis leur arrivée, plus de trente-six heures auparavant. Si ses compétences commençaient à être mises à mal par l’absence de sommeil, il risquait d’être obligé de lui enjoindre à prendre du repos… ce qu’il savait qu’elle ne ferait pas. Son fiancé comptait parmi les disparus et Harlington n’aurait pas agi autrement qu’elle s’il s’était retrouvé à sa place. Peut-être devait-il s’en ouvrir à Sulok ? Il ne s’attarda guère sur cette hypothèse. Moins il avait affaire à l’antipathique docteur, mieux il se portait. – Tenez moi au courant, lieutenant, et en attendant, que tout le monde se regroupe par équipe de deux. Pas question de perdre qui que ce soit d’autres. Quadrillez toute la base et envoyez vos données en direct sur le Baltimore. Je veux que tout le monde soit à l’affût de la moindre anomalie. – À vos ordres, monsieur. T’Savhek se replongea dans les données affichées par les moniteurs. Quelque chose lui échappait forcément. Restait à trouver quoi… * ** Dans l’infirmerie du Baltimore, l’infirmier Thif ne quittait pas du regard le docteur Sulok. Ce dernier s’était injecté le contenu d’une seringue hypodermique mais rien n’y avait fait : son bras était toujours inerte et Sulok avait éludé depuis toute question concernant sa blessure. Présentement, le médecin rassemblait maladroitement quelques fournitures de premiers secours, qu’il empilait dans sa mallette médicale, prêt à rejoindre l’avant-poste en cas de problème. Il cogna involontairement son bras invalide contre un lit médical et Thif surprit ce qu’il n’aurait jamais cru voir un jour sur le visage du froid Vulcain : une grimace de douleur. L’Andorien n’y tint plus : – Ça suffit, docteur ! Que vous le vouliez ou non, vous n’êtes pas en état d’assumer vos fonctions. Allongez-vous, que je vous examine. – Je suis encore le médecin de bord, rétorqua Sulok, et je connais mes limites. – Vous êtes surtout l’être le plus borné que j’ai jamais rencontré ! Si le commandant apprend dans quel état physique vous êtes, il vous relèvera de vos fonctions et aura bien raison. Je me demande d’ailleurs si je ne vais aller l’en informer moi-même. – Je vous l’interdis, Thif ! Je suis tout à fait capable de remplir mon rôle. – Vous le faites exprès, ma parole ! Réfléchissez un peu, bon sang ! Comment voulez-vous que l’équipage ait confiance en son médecin s’il n’est pas foutu de se soigner lui-même ? Euh, sauf votre respect, monsieur, ajouta-t-il précipitamment en se rendant compte qu’il dépassait les bornes. Sulok fusilla du regard son subordonné pendant un bon moment, l’air plus glacial et pincé que jamais. Thif fit appel à sa fierté pour ne pas détourner le regard. Sulok rompit le silence, d’une voix douce : – Monsieur Thif, la médecine n’est pas un simple métier, c’est un sacerdoce. Défendre et faire prospérer la vie est un art difficile, d’autant qu’il est bien plus facile de détruire que de construire ou de préserver. Or je suis Vulcain, les choses faciles ne m’intéressent pas. Je pensais que mes recherches sur le virus hélicondratile étaient très importantes, et j’avais raison. Elles peuvent conduire à sauver des millions de vies, voilà l’essence même de la médecine à mes yeux ! Mais d’un autre côté, je me suis laissé aveugler par cet objectif, au point que tout le reste, y compris mes fonctions à bord, sont devenues secondaires à mes yeux… comme l’a bien compris le commandant. Ce faisant, je me suis retrouvé de facto à presque violer mon serment d’officier de Starfleet puisque j’ai négligé la santé de l’équipage. Pouvez-vous imaginer le sacrilège, la honte que représentent aux yeux d’un Vulcain le non-respect d’un serment ? J’ai déjà failli une fois, et ce sera la dernière. Quoi qu’il arrive, quoi qu’il m’en coûte, toutes mes capacités sont désormais au service de l’équipage. Thif fut abasourdi par de telles révélations. C’était la première fois que Sulok parlait de manière si personnelle. C’était d’ailleurs la première fois qu’il lui parlait autant. Alors que Thif s’était imaginé que seule sa fierté égoïste guidait Sulok à agir de manière aussi inconsidérée, voilà qu’il lui révélait que c’était uniquement son souci de la santé de l’équipage qui le poussait en avant et à se négliger lui-même. – Docteur… tant qu’il n’y a pas d’urgence médicale, je peux gérer la santé de l’équipage. Or il n’y en a pas. Vous devez absolument profiter du répit que nous connaissons pour vous soigner. C’est indispensable pour que vos capacités soient à nouveau optimales. Pour l’instant, nous savons tous deux qu’elles ne le sont pas, ce qui là encore risque de vous faire échouer. Allongez-vous et laissez-moi vous soigner. – Entendu, répondit Sulok après avoir jaugé son assistant. – Je commence par quoi ? demanda Thif dès que le médecin fut allongé sur un lit médical. – Que proposez-vous ? rétorqua Sulok. Tout sourire face à ce qu’il interpréta comme une marque de confiance, Thif se lança dans un grand discours au cours duquel il détailla tout ce qu’il proposait de faire pour soulager les douleurs de son supérieur et entamer au plus vite le processus de guérison. * ** Pour la quatrième fois de sa vie, T’Savhek perdit le contrôle de ses nerfs. Elle tapa violemment du poing le coin de la console devant laquelle elle travaillait. Comme les trois fois précédentes, elle fut envahie d’une honte immense et eut l’impression d’avoir trahi son peuple et ses idéaux. Elle s’assura que nul ne l’avait vu céder à des pulsions si primaires. Puis son esprit logique reprit le dessus, rejetant l’image de Silkar qui venait de plus en plus souvent la hanter. Il y avait quelque chose de très important à découvrir dans les relevés des ordinateurs, tout son être le lui soufflait. Mais sa frustration venait surtout que cette conviction profonde ne cadrait pas du tout avec la logique et ne reposait que sur du vent… ou une envie désespérée de trouver des réponses rationnelles. Pourtant, hormis ce problème de densité de l’air, elle n’avait rien découvert. Nulle trace des particules caractéristiques d’une téléportation, d’autant plus que les scientifiques locaux avaient mené des expériences en ce sens qui avaient abouti à une conclusion irréfutable : nulle téléportation n’était possible sur la planète, la faute à une variété de minéral très répandu sur Narnaya Prime, le mitrandium, dont les caractéristiques naturelles empêchaient tout transfert d’énergie. Il y avait forcément une faille dans son raisonnement. Elle lança l’ordinateur dans une nouvelle analyse qui incluait un très large spectre de particules diverses. Elle en choisit certaines qui pouvaient agir potentiellement comme celles qui régissaient le fonctionnement des téléporteurs, et les autres furent choisies de manière bien plus aléatoires, selon le principe vieux comme l’univers selon lequel les découvertes majeures étaient souvent le fruit du hasard. Elle venait de finir la programmation de la nouvelle recherche quand son communicateur se mit en route : – Ici Inriek, sur le Baltimore. Je ne détecte plus le lieutenant Lupescu ! Il vient tout bonnement de disparaître de nos écrans de surveillance !
Dernière édition par Minos le Dim 18 Oct - 11:05, édité 1 fois | |
| | | aj crime Croquemitaine
Messages : 2570 Date d'inscription : 16/09/2007 Age : 51 Localisation : Presque de l'autre côté de la Terre !
| Sujet: Re: USS Baltimore II : Narnaya Prime (novella;Star Trek;terminée) Mer 23 Sep - 0:13 | |
| Et voilà, copié les 7 premiers chapitres, en 20 pages word, c'est court comme chapitres. Mais bon, cela reste du choix de l'auteur donc non discutable. N'attends pas mes propositions avant quelques temps mon pauvre minos, mais cela viendra. | |
| | | Minos Lapinou Imperator
Messages : 5934 Date d'inscription : 17/08/2007 Age : 50 Localisation : Morbihan
| Sujet: Re: USS Baltimore II : Narnaya Prime (novella;Star Trek;terminée) Mer 23 Sep - 0:14 | |
| T'inquiète, de toute manière me v'là parti pour écrire pendant une loooooongue période, donc les corrections attendront ! | |
| | | Notsil Candy
Messages : 4033 Date d'inscription : 09/09/2007 Age : 39 Localisation : A la campagne !
| Sujet: Re: USS Baltimore II : Narnaya Prime (novella;Star Trek;terminée) Mer 23 Sep - 10:06 | |
| Oh Sulok se révèle Je savais qu'il avait un bon fond malgré son sale caractère de vieil ours ^^ Au passage, je suis pas sûre qu'on puisse dire que l'air "se condense" lorsqu'il est "à l'état naturel", pisque quand il se condense, ça fait les petits nuages de vapeur qu'on souffle quand il fait froid :) Il devrait donc être "réparti" (ouaip le mot est laid ^^) ou avoir une densité - ou + uniforme... Pis bon, techniquement, l'air n'est qu'un mélange de plusieurs gaz (azote, oxygène et CO2 en large majorité), donc pas vraiment une molécule...ceci dit, justement, sa composition pourrait varier, par ex via un défaut en certaines molécules, ce qui donc changerait très légèrement la quantité relative de chaque élément le composant. (dsl pour le pavé ). | |
| | | Den Bouffon du Roi
Messages : 5101 Date d'inscription : 09/09/2007 Age : 42 Localisation : Belgique
| Sujet: Re: USS Baltimore II : Narnaya Prime (novella;Star Trek;terminée) Mer 23 Sep - 11:00 | |
| Que dire, si ce n'est que j'ai de plus en plus envie de connaître la suite de l'histoire! Ce bon Sulok devient gentil on dirait^^ J'avoue que je m'étais trompé sur son compte dès le début. Je le voyais comme un personnage tout juste bon à être vilain, mais heureusement, je me suis trompé^^ Et puis, il faut absolument retrouver Lupescu! | |
| | | Minos Lapinou Imperator
Messages : 5934 Date d'inscription : 17/08/2007 Age : 50 Localisation : Morbihan
| Sujet: Re: USS Baltimore II : Narnaya Prime (novella;Star Trek;terminée) Mer 23 Sep - 22:18 | |
| Vrai que mes descriptions de l'air sont bancales, je me le suis moi-même dit lors de la rédaction. Faudra que je recogite ça pour la Ultimate Version. | |
| | | aj crime Croquemitaine
Messages : 2570 Date d'inscription : 16/09/2007 Age : 51 Localisation : Presque de l'autre côté de la Terre !
| Sujet: Re: USS Baltimore II : Narnaya Prime (novella;Star Trek;terminée) Jeu 24 Sep - 22:13 | |
| - notsil a écrit:
- Pis bon, techniquement, l'air n'est qu'un mélange de plusieurs gaz (azote, oxygène et CO2 en large majorité), donc pas vraiment une molécule...ceci dit, justement, sa composition pourrait varier, par ex via un défaut en certaines molécules, ce qui donc changerait très légèrement la quantité relative de chaque élément le composant.
Euh je me trompe ou chaque gaz composant ce mélange que l'on appelle air est déjà constitué de molécules (N2, O2, C O2, N O X,... ) Désolé minos pour cette discussion, une fois de plus avec Notsil, et une fois de plus de physique chimie... à brule pourpoint dans un topic qui n'y était pas destiné. | |
| | | Minos Lapinou Imperator
Messages : 5934 Date d'inscription : 17/08/2007 Age : 50 Localisation : Morbihan
| Sujet: Re: USS Baltimore II : Narnaya Prime (novella;Star Trek;terminée) Jeu 24 Sep - 22:19 | |
| Pas de souci, c'est des débats qui font avancer le schmilblick.
Je m'en sortirais bien avec une pirouette du genre "ah ouaip mais c'est T'Savhek qui fait de la vulgarisation à outrance parce que Harlington est une tanche en physique", mais ce serait un peu gros. | |
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